Mariage de Gauvhin de Plantagenêt et Agnes de Carpadant

Coup d'oeil appreciateur vers son fils. Mais elle ne lui fit pas de compliment. Il avait atteint l'âge où la mere cédait le pas à la comtesse et où ses actes et ses choix seraient examinés sans concession. Il avait desormais responsabilité d'une famille.

Dame Florianne, messire Leontin, bienvenue à Salbart. Quand les temps seront plus clements, nous organiserons une chasse à Bressuires. J'y possede de belles forêts giboyeuses. Les familles ne devraient pas ne se rencontrer que pour les mariages et les enterrements, n 'est il pas?

Citation :

Je vous présente mon époux, Altaiir Auditore da Firenze, Vicomte de Rigny - Ussé, Seigneur de Villiers.

Enchantée messire. Votre épouse possede de belles qualités que je decouvre chaque jour où nous nous voyons. Vous êtes un homme chanceux messire.

Sourire à l'adresse de Camille

*toc* *toc* *toc* y'a quelqu'un ? C'est moi la petite voix de dedans ta téte !
Rhaaa lache moi ! J'ai pas dormi de la nuit !
ben vi mais t'es au mariage de ta tante andouille !

Elle se donna une petite claque sur la joue pour se réveiller et pris une sucette a l'armagnac histoire d'etre sur de tenir jusque la fin.
Elle remonta aussi sa petite fourure, déja dehors il fait froid mais la dans la chapelle il fesait un froid a vous réveiller un mort !

Levant son petit menton elle observa tour a tour les invités, il lui semblait que c'était l'une des cérémonie les plus importante qu'elle a eu l'occasion d'assister.
Sa mére a coté d'elle était en pleine discussion, morgane lacha alors cette phrase pleine d'esprit

-M'man ? j'ai faim

Morgane prit discrétement les macarons et les mangea cachée sous sa cape, ah sa fesait du bien cela fesait deux jours qu'elle n'avais rien mangé étant toujours a droite et a gauche. Elle n'en avais rien dit a sa mére pour pas l'inquiéter et lui fit un son plus beau sourire angélique

-merci m'man, moi aussi je t'aime

Ah vi y'avais de l'expérience derriére cette phrase ! Comme cela elle était sur qu'elle se radoucirait..manquerait plus qu'elle me passe un savon devant tout le monde !

De l'autre coté de la chapelle les maiés fesaient leur entré, morgane voulut les admirer mais elle se retrouva face a une grande jupe rose pleine de froufrou; c'était sa mére et comme la rousse était de petite taille elle essaya de passer sa tete juste a coté de son bras . Elle leva le regard vers son idole, avec l'air de dire "te fache pas j'y suis pour rien !"

Son bras très vite entouré, voir agrippé, le ténébreux florentin ne put retenir un malin sourire que de sentir la possessivité de son épouse; s'inclinant en même temps devant chaque personne présentée pour leur faire honneur.

Alors c'est ces Eminences qui vous courtisaient ? Je vois je vois... Suivi d'un petit rire plaisantin.

- Enchanté Eminence (Rehael), avec votre bénédiction dans cette chapelle je ne doute pas que tout se déroulera sans encombre !

- Heureux de vous voir mon Eminemence (Clodeweck), je m'emmêle, Eminence, ma charmante épouse innocente n'a pas trop fait de bêtises en mon absence ? Combien de coups de crosse à l'heure actuelle ?

- C'est un plaisir Votre Grandeur que de vous rencontrer (Antoineleroy), je me sentirai moins seul homme dans ce beau petit groupe, non sans vouloir exclure nos Eminences, c'est qu'ils sont bien protégés par le Très Haut. Sourire taquin en circulaire pour ces dames.

- Tout le plaisir est pour moi Vicomtesse (Caerellyn), je crois qu'elle n'a plus aucune crainte à se faire maintenant qu'elle a cadenassé mon bras au sien. Il Auditore viene da Firenze : Repubblica Fiorentina; so anche di quando sono nato.
En clair : mon nom Auditore vient de Florence la ville, capitale de la République Florentine. Donc je sais le parler puisque j'y suis né.

- Votre Grandeur (Icie), c'est un honneur pour moi que de vous rencontrer en personne, vous avez de charmantes terres accueillantes et des habitants très sympathiques, je suis persuadé même que certains sauront gardé un souvenir de mon séjour ici.

- Pour la Reine de la Journée, je crois bien que j'aurai plus de chance de faire mon allégeance lorsqu'elle aura un peu plus de champ libre par ses éternels admirateurs !

Enfin, une fois qu'il eut fini, quelque chose l'intrigua au loin vers la zone privée au clergé par laquelle il est entré... Sourire innocent, il entendait un infime écho du pauvre homme bégayant le délit de la présence d'armes dans les appartements sacrés.

Je prierais avec vous Hélène j’espère que tout ira bien. Vous sentez vous de m’accompagner que je vous présente quelques personne qu’il me faut aller saluer ?Tout occupée à détailler Hélène du regard, bah oui sa filleule va mal l’horreur !, elle entendit sans voir Camille qui venait à sa rencontre.

Bon jour Camille commet allez vous ? Point trop de peine à venir jusqu’ici ? On parlait famille hum oui la famille il fallait allez la saluer puis on parla robe. Je vous retourne le compliment vous être très belle en ce jour.
Ah je vous présente la jeune Hélène de Blackney, ma filleule et demoiselle d‘honneur en ce jour. puis vers Hélène. Demoiselle voici Dame Camille d’Anclair, elle travail avec moi et excelle en diplomatie également.
Et un inconnu débarqua attrapant Camille euh comme un rustre ? C’était qui lui. Observation de la Carpadant comme souvent et raisonnement en marche hum l’époux. Le tourangeau. Euh c’était quoi son nom déjà ? Camille lui avait dit plusieurs fois hum… déjà ils avaient entrainé Camille a quelques pas de la. Et… et bah faut bien y aller un jour. Elle allait aider Hélène a se levé puis se ravisa. Comment le prendrait-elle ?

M’accompagnez-vous Hélène ?

Après réponse de la jeune fille, Agnès prit la direction de la « famille » ou plutôt de l’attroupement la bas.

Bon jour à tous hum alors il y a avait qui ?

Vos Eminences vous m’en voyez ravie de votre présence. et puis elle remarqua la présence des Montfort Balmyr sauf que elle ne les connaissait pas en fait. Que dire ? que faire ? Protocole encore ou esprit de famille ? Elle opta pour un salue respectueux accompagné d’un sourire et décida d’aller les rencontrer d’avantage avec Gauvhin sitôt l’union officielle. Elle poursuivit et nota la présence de plusieurs Poitevins certains qu’elle connaissait et d’autre nom. Elle se dirigea vers le couple Garion.
Comte, comtesse soyez les bienvenus, j’espère que la journée sera des plus agréable pour vous. Et re-famille. Elle nota que son cousin Sébastien était présent. Mon cher cousin ravie de vous revoir. Avez-vous fait bonne route ? J’espère que vous resterez un peu après la cérémonie que l’on débatte sur l’affaire que nous voulions si cela vous sied. Et prêt de lui elle remarque une présence oubliée. Caerellyn avec une enfant, une inconnue et un Comte défiguré. Hum c’est quoi ça ? Ils l’a regardaient, il fallait parler mais rien ne sortait. Elle savait que depuis la mort de sa folle de mère, les Carpadant avaient fait un retour au sein du clan Plantagenet. Peut lui importait cela sauf qu’elle n’avait pas imaginé que face à eux elle revivrait la dernière rencontre avec Alexandre. D’ailleurs l’un de ses fils était présent et une autre jeune fille en qui elle avait reconnue la jeune Florianne de Cheroy qui avait bien grandit.
Encore des souvenirs…

Comte de Fontraille, j’ignorais votre venue mais soyez le bienvenu à Salbart. Caerrelyn bon jour. Est-ce la jeune morganne qui vous accompagne ? Puis regardant l’inconnue à leur coté. Ma dame je n’ai pas le plaisir de connaitre, bienvenue à vous.je vous présente Hélène de Blackney ma filleule. Dit-elle en posant la main doucement sur l'epaule de la jeune fille à ses côtés.
Et enfin elle était aux cotés de Gauvhin qu'elle admira sans un mot un moment, pleinement consciente du chemin qu'il avait parcours, de l'amitié puis de cet amour qui les avait unit. Elle lui offrit ce sourire qui n’était destiné qu’a lui puis se pencha pour lui murmuer quelques mots.

Ah quel beau manteau!! Tonton l'était pingre pour les poutouilles et les démonstrations de sentiments, mais côté dépenses pour sa filleule, il n'y allait pas de main morte...sauf quand elle réclame...là elle a droit au sermon sur la modestie, l'économie, la charité...

Elle était contente parce qu'Agnès et Gauvhin allaient se marrier, comme les princes et les princesses!! rooo ce qu'ils étaient mignons tous les deux...

Peu amène pour se soucier d'une improbable vie amoureuse personnelle tant l'idée lui échappait pour elle-même, Poppy aimait par contre marrier et fusionner tous les jupons qui passent...

Toudidou...Toudida...toudidoudidaaaaa...chantonne t'elle en s'approchant des vantaux de la chapelle...Toudidou di dou di da di dou Toudidoudiouaaaaaaaaaaaaaaaaaaah!!!!!

Et oui...bondé...blindé...rempli...de monde!! en même temps, pour un mariage, c'était vachement mieux...

Plantain, son cocher qui s'occupait d'elle - parce que tonton l'a pas qu'ça à faire - lui avait dit : tu te tiens droite, tu fais attention
à pas te vautrer, et surtout, tu salues tout le monde...pars pas te planquer derrière un Christos ou encore pire, sous l'autel...sinon!!! je te donne à manger aux petits cochons!!

Elle avait haussé les épaules : n'importe quoi!! les petits cochons!! qu'elle avait fait...
Il se trouvait quand même qu'elle n'était point sûre que les petits cochons ne mangeaient pas de Poppy...alors...il faudra qu'elle fasse un effort.

Elle vit assez rapidement son oncle, et comme sur une impulsion venue de l'au-delà, se tint immédiatement bien droite, faisant attention à pas se vautrer et...et trop duuuur...

Oh!! Icie!! son idole...mais bon les idoles ça change chez les jeunes, et là elle avait jeté son dévolu sur Caerellyn...évidemment, Icie reste la grande Icie...une légende comme le sera Iggy Pop dans quelques centaines d'années...Mais Caerellyn, elle était trop belle, et aussi trop gentille...alors la voila elle aussi propulsée au rang d'idole de jeune...

Il était vrai que cette fois-ci était plus moins pire que la dernière fois, où elle connaissait vraiment mais alors vraiment de chez vraiment personne.

Il y avait Sébastien!! Sébastien elle l'aime trop!! il a la classe, et il lui adresse la parole, ce qui était déjà deux immenses points en sa faveur...Sébastien c'était vraiment son cousin qu'elle aime...d'ailleurs, un jour où elle se fera gronder par Rehael, elle lui dira que puisque c'est ça, c'est Sébastien qui sera son tuteur...na!! même si il avait casi le même âge qu'elle...et qu'il a sûrement autre chose de mieux à penser dans sa vie qu'une Poppy qui sait rien faire de ses dix orteils...enfin...si...elle savait faire des trucs....juste que c'est pas des trucs qu'on fait dans la Haute...normalement...comme grimper aux arbres ou peindre les volets...

Elle pense fort aux petits cochons, et se dit que devant la difficulté, elle leur servira sûrement à bouffer...même pas elle ose parler à sa petite cousine Morganenn qui était gentille elle aussi.
Elle chercha du regard son autre petit cousin Eldric, mais ne le trouva pas...elle en ressentit une petite déception devant ce sale mioche pour qui elle craquait un peu fallait dire. En le cas présent, cela l'aurait arrangé qu'il la prenne pour la servante, comme la dernière fois.

Bon peut-être que...en joignant les mains, elle aura l'air d'une statue votive.......euh...non...

Et dire qu'elle avait dix-huit ans...

La chapelle se remplissait de plus en plus. Personnes connues, visages inconnus, un monde entier dans ce lieu saint.

Caerellyn se sentit soudain fort mal à l'aise. Avait-elle eu raison de se trouver icelieu ? La chose était parfaitement incompréhensible, et l'effet de cette incompréhension particulièrement désagréable pour cette femme de raison. De raison ou de cœur ? l'un se disputait à l'autre. La brune de jais se demanda un instant si elle n'avait pas perdu tout simplement son discernement. Elle ne se sentait en rien coupable pourtant, et n'avait en rien à se permettre de juger les faits qui faisaient que ce jour était si particulier.

Agnès approchait, regard froid qui passa sur elle comme si elle ne la connaissait guère, c'est du moins ce qu'elle ressentait. Caerellyn ne bougeait pas. Elle répondit avec assurance à son bon jour.

C'est bien ma fille Morganenn qui m'accompagne. Elle sourit à Hélène de Blackney qui visiblement était blessée, vraisemblablement lors du chaos qui secouait encore à ce jour, le royaume.

Celle, qu'elle appelait sa sœur dans le silence de sa tête, passa.

Un bruit plus qu'étrange la fit sursauter. Elle avait cru entendre un croassement.

Elle se retourna vivement et croisa un regard pétillant de malice et pourtant, en y regardant bien, avec un font de tristesse, l'incertitude de la jeunesse, d'une jolie jeune fille, elle se souvenait et voyait souvent cette expression dans les yeux de sa fille.

Elle lui adressa un sourire rayonnant qu'elle espéra réconfortant. N'était-ce point la jeune Poppy_Waldrade ? Elle trouvait cet enfant très attachante, sans comprendre le pourquoi, elle eut voulu la voir devenir amie avec son écureuil de fille.

Elle soupira bien trop fortement pour ce lieu de recueillement.

Alors qu'elle cherche un plan B - autre que se réfugier derrière son oncle (ultime recours qui ressemblerait à une honteuse retraite) - elle croise un sourire : oooh!! éblouiiie!! Dame Caerellyn souriait vers elle, et les rayons de sa radieuse beauté la percutaient comme le soleil...

Elle finit par se rendre compte que c'était bien à elle qu'était adressé ce sourire...

Oaaaaaaaaah...Dame Caerellyn me sourit hey...mince alors...elle se mit à rougir...bêtement...

N'était-ce pas l'occasion rêvée d'éviter de finir dans une auge? Et puis, fallait pas faire honte à l'oncle...et puis...fallait faire des efforts sur elle-même pour se sociabiliser...et puis...c'était Dame Caerellyn qui était trop belle...

Poppy réponds par un sourire timide, puis se décide à s'avancer : la grande dame avait l'air sans interlocuteur...elle ne dérangerait peut-être pas à aller la saluer.

Elle s'applique à faire la révérence, puis d'une petite voix mais d'un chaud sourire : Bonjour Dame Caerellyn...vous êtes en grande beauté ce jour...comment ça va?...non...comment allez-vous? c'est mieux...

"Très jolie" et "très élégante"...oualalala...c'était la première fois de toute sa vie toute entière qu'on la complimentait sur son apparence...ou complimentait tout court...ah y avait bien Plantain qui pour le Sacre lui avait dit qu'elle ressemblait enfin à une fille...mais elle était pas sûre que c'était un vrai compliment qu'on fait quand on complimente vraiment.

Elle rosit et réponds en bafouillant un peu sous la nervosité : merci beaucoup Ma mad...ma Dame...

Lorsque Dame Caerellyn lui chuchote ses confidences, elle ouvre grand ses yeux miel...croasser? ici? elle pense plutôt qu'au crapaud, à une Reinette...et pour le mot de la fin ouvre une bouche - qu'elle avait un peu grande - saisie par l'importance du secret...un chaaaaaat!!!

Elle regarde alors Dame Caerellyn beaucoup moins timide, et totalement complice d'une révélation classée top-secret défense comme s'il eut pu s'agir du moyen d'arrêter la guerre entre le Ponant et le Royaume de France...

Il y avait dans la chapelle, une grenouille et un chat!!! alors ça c'était vraiment très très très intéressant!! Si Poppy avait su qu'en plus il y avait un écureuil, alors là, ça aurait été une grande célébration!! Un mariage d'un Prince et de sa Princesse au milieu de leurs amis, de leur famille, et sous la bénédiction muette du Comte Grenouille et du Marquis Chachat...sous l'oeil bienveillant de Son Excellence Ecureuil et de l'Impératrice Poppy....Magique...et tout ce qu'il faut pour que ça parte en quenouille...

Poppy regarde autour d'elle et aperçoit sa jeune cousine Morgannen...elle se dit aussitôt qu'elle pourrait aborder un rapprochement discret et stratégique de la cible en question, et que justement pour ledit rapprochement stratégique elle pourrait en profiter pour chercher la grenouille...

Avant de partir en mission comme un Soldat des Saintes Armées après Cromwell, elle fait un grand sourire à sa grande et belle cousine...ou tante...elle ne savait pas trop...puis lui chuchote à son tour : Merci beaucoup pour ce secret...il est bien gardé avec moi...je vais aller saluer votre fille...elle lui fit alors un clin d'oeil entendu, puis sur une nouvelle révérence, lui glisse ce un peu trop familier mais totalement innocent et naturel : à toute à l'heure!!

D'un glissement de côté, elle parvient jusqu'une belle femme brune qui était coiffée d'un élégant chignon et enveloppée d'un fort joli châle gris...elle aborde une révérence et un sourire...Bonjour Ma Dame...et d'un même coup regard à gauche et à droite...
Autre pas, ce coup-ci devant un homme de belle allure, blond au bras d'une également très charmante blonde...
Révérence, Ma Dame...Messire...sourire, oreille tendue...oeil concentré...
Un homme avec une couronne, révérence, regard un peu distrait, sourire...Bonjour Messire... la mission continue!! la jeune cousine n'était plus qu'à un bond de lapin...
Un homme de fière allure, un soldat sûrement ou un qui avait du l'être...Messire..révérence, regard fuyant et tête chercheuse...
Une robe rouge...oreille et regard ailleurs...Bonjour Ma Dame...révérence...sourire...robe rouge? boaaaaaaaaah!! un Oncle!!

Poppy ne savait pas si elle trouverait la grenouille, le chat et l'écureuil, mais ce qui était sûr, c'était qu'elle était tombée sur un os!!

Aaaaah enfin je vois ! Non loin de moi la mariée resplendissait dans son élégante robe, je ne l'avais jamais vu avant et pourtant...c'était ma tante, je lui sourit lorsqu'elle demanda a m'man confirmation quand a mon identitée. Je ne savais quoi dire alors j'improvisait totalement un phrase en bafouiilant presque.

-dia duit ! bhfuil tú ag lonradh !

Ah bah pourquoi tout le monde me regarde avec des yeux de merlans frit ? J'ai dit un truc qui faut pas ? ouf ! si elle s'en va c'est que c'était pas grave... mmmm ? Moi faut vraiment que j'arrete les sucettes a l'armagnac je dis des trucs que je sais meme pas ce que je dis !

Tiens ? pourquoi on me caresse pas les jambes aujourd'hui ? ou il est le chat ? croooooooaaaaa

Hhihi j'ai faim, crooooa bon sa va maintenant ! croooooa ! c'est peut etre pas moi en fin de compte... beeeeh non c'est héléne ! Je m'approchais de la blonde a béquille mais comme je n'était pas au bon endroit de la salle et qu'elle semblait ne pas trop pouvoir bouger je lui adressait un grand signe de la mai, vous savez comme tous ces gens qui font youhou dans les aéroports !

En me rapprochant je tombais une nouvelle fois sur ma mére, une femme toute blonde venait de prendre congé

-m'maaaan ? c'était quiiii ?

m'maaaan ? c'était quiiii ?

Mon ange, mais quel langage employez-vous donc ? Votre tan....Agnès c'est certainement posée des questions quant à votre sensibilité exacerbée. Elle cacha son rire. Si elle savait !

C'est une charmante damoiselle blonde qui vient de me quitter, vraiment adorable, d'ailleurs mon écureuil, elle vous cherche et souhaite faire votre connaissance. Elle me semble un peu malicieuse, d'ailleurs elle me fait penser à quelqu'un que j'adore. Il s'agit de damoiselle Poppy_Waldrade la filleule d'oncle Tibère.

Re-petit clin-d’œil ! Il me parait que vous pourriez vous entendre à merveille !

Tandis que les invités arrivaient à foison, le Comte pu constater l'entrée du Pair de France Martymcfly de Montfort-Balmyr. Mais ses pensées et regards furent de courte durée puisque le cher oncle de Caerellyn le taquinait sur un futur proche tant espéré...

" Je me doute fortement que l'entourage de cette chère Cae doit avoir l'oeil attentif à ses affaires de coeur et j'espère très fortement que l'avenir nous permettra, sous le regard du Très Haut, de fonder alliance et famille! "

Un immense sourire vint se dessiner sur le visage d'Antoineleroy tandis que la conversation dérivait sur la GE

" Ma foi depuis l'échec cuisant du traité en Armagnac et Comminges je me suis éloigné de la Garde avec forte tristesse et si j'ai bien tout suivit il semblerait que Monseigneur Kad ne soit plus Préfet des Vidames? Et que cette chère Donà Asphodelle aurait reprit cette charge?
Dans tous les cas voici un avenir radieux pour cet office important... "

C'est alors qu'une arrivée rapide se fit dans ce petit groupe! Un Vicomte si l'on en croyait la couronne siégeant sur la tête de l'homme ayant prit possession du bras de Camille. Le Comte fit alors une génuflexion d'usage protocolaire puis serra bien vivement la main de l'homme ainsi présenté comme l'époux de Son Excellence

" Vous me voyez enchanté de faire votre connaissance, Vicomte! Me permettant ainsi de mettre enfin un visage sur le bonheur de notre chère Camille! "

D'un regard en coin, Antoine contemplait l'échange entre Cae et Morganne, non sans retenir un petit rire espiègle tandis qu'Agnes de Carpadant vint les saluer

" Je vous remercie de cet accueil! "