Arrivée des invités

Orgerix se rendit au corps de garde. Descendant de cheval, il se dirigea vers les écuries.

Salut Sarmit, salut Séraph. Comment ca va ?

Se laisse bailloner de façon si agréable par son épouse puis pose ses mains sur sa taille et lui murmure
Ne serait il pas temps que nous nous en allions?

Deux cavaliers passent la voûte d'entrée du château au grand galop. Mettant pied à terre, la Dame s'adresse au commandant du poste de garde en lui tendant un parchemin :

Hola garde ! Je suis Abaelle de Verrières et voici Zodelius de la Durelame, mon promis. Voici notre invitation. Nous avons chevauché tout le jour espérant arriver à temps... Indiquez-nous sans tarder où se trouve la chapelle, et veuillez faire conduire nos chevaux aux écuries.

Elra arriva tardivement monté sur un destrier noir lancé au galop. A peine la monture eut-elle le temps de s'arrêter que le Baron sauta du cheval pour s'annoncer au garde. Il plongea sa main à hauteur de torse dans sa robe.

Garde voici mon invitation pour les festivités du mariage de mes deux amis.

Semblant un peu essouflé il ne manqua toutefois de regarder les alentours, déjà plongés dans la pénombre.

et voila que sigil se met à hurler. Elle se dirige vers l'entrée quand Amerzone arrive, accompagnée d'une charmante personne, qu'elle lui présente comme étant bardaya. Hekate salue la jeune femme, qui semble ne pas pouvoir lui répondre, et lui fait forces gestes. Hek comprends que celle ci est muette, et lui fait un petit signe pour montrer qu'elle à compris. Sigil s'époumonnant de plus belle, la femme s'excuse auprés de ses compagnes

Je suis désolée, je vous rejoindrais plus tard, mais je doit m'occuper de cette petite ogresse..elle va finir par me tuer..un vrai vampire assoiffé de lait...

Elle sait que Icie lui à fait préparer des appartements séparés, autant pour la tranquilité de sa fille que pour celle des autres convives...ce qui vaut mieux, vu la facheuse habitude qu'a la petite de hurler à toute heure du jour ou de la nuit

Deedlitt se présenta au poste de garde suivis de valets, qui avaient les bras chargés de présents pour les nouveaux époux. Elle présenta son parchemin d'invitation aux gardes et se présenta.

Bonsoir, je suis Deedlitt de Cassel, j'ai été invité pour fester les épousailles de sire Gaelik et de Dame Icie. Voici mon invitation.
Voici mes suivants ils ont des présents pour les époux..Chuttt ne l'ébruitez pas.

Deedlitt se hâta soulevant un peu se robe, pour ne pas être trop en retard.

Grand merci à vous, je me presse.

Elle fît une sourire au garde et parti comme le vent dans les couloirs du château.

Le comte de Comborn avait fait du chemin pour se rendre au mariage du comte de COudray-Salbart et de dame Icie.
Il avait eu l'occasion d'oeuvrer avec eux lors des affaires de la noël, c'était avec grand joie qu'il allait les revoir en une occasion bien plus festive.
Arrivé à l'entrée de domaine en compagnie de son épouse il se présenta au poste de garde en toute simplicité.

Messire Garde je me présente, Ursin en compagnie de mon épouse nous sommes conviés au mariage de vos maîtres.
Pourriez vous nous guider je vous prie.

Dame Icie avait dépeché le maitre d'hôtel pour acceuillir messire Ursin et son épouse au poste de garde. Il se tourna vers le garde.

C'est bon, vous laissez passer. Dame Icie m'a dit de venir pour les guider.

Il salua le couple

Messire et gente Dame, si vous voulez bien me suivre. L'on se chargera de vos bagages, une chambre vous ai réservé. Nous passerons par la salle de reception où vous pourrez boire quelque chose puis rejoindrons le groupe sui visite le château. J'espère que cela vous convient.
Suivez moi messire et dame.

La chose est parfaite mossieur nous vous suivons !

Un beau chevalier ( forcement) chevauchant un bel destrier (cela va de pair) se presenta à la poterne du chateau.

Hola !!! manant cria t'il, avisant un soudoyer baillant aux corneilles, abaisse ce pont levis, je suis hodé par ce voyage, j'ai grand soif et je viens seant saluer Dame Icie et feter ses épousailles.

Zodelius, car s'etait lui, venait de visiter le village attenant, esperant encontrer sa douce et craquante mie Dame Abaelle.

J'attendrais donc dans la cour du chateau que mon aimée me rejoigne, pensa t'il, malgres sa faim et son envie de saluer la chatelaine

Le garde parcouru la longue liste des invités, posa une croix à côté de clui de cette dame.

Bonjour Dame Chevalier_dhaillon, vous êtes attendu. Une chambre vous est réservée pour votre repos. L'on vous y guidera...hésite, tente de lire sans se tromper, que cet apprentissage est difficile, il n'a pas encore tout appris, hum...........la chambre "Angelique" je crois, au deuxième elle est est.

Le garde salue la Dame et lui fait signe d'entrer

Coche sur sa liste

Bienvenue messire le Comte, vous êtes attendu. On va vous y conduire et prendre soind de votre cheval. L'on vous guide vers la salle de reception.

Lockarius arrive sur un cheval, fort en retard comme bien souvent*, il s'arrète devant la grande porte et saute à terre.

Holà le garde ! Lance t'il.

Sursaute
Par Aristote!! j'me suis assoupie, heureusement que je ne suis pas seul à garde ici pensa t il

Il regarde le cavalier d'un air suspicieux, il a fier allure pourtant, un invité sans doute..mais qui? :

Messire à qui ai je l'honneur ? J'ai ordre de ne laisser passer que les invités au mariage de nos maistres.

Le vent d'hiver soufflait, le carrosse arrivait à vive allure petit à petit une forme grandissait à l'horizon qui n'était autre que le castel de Salbart. Ardarín relut la missive d'invitation qu'il avait reçut une semaine auparavant. La surprise ne le quittait pas. La missive le conviait à célébrer les épousailles de Gaëlik De Plantagenêt qu’il n’avait que tout fraîchement rencontré.

Le cocher activa encore un peu l’attelage qui était déjà dans un grand retard.

Arrivé devant la porte Ardarín n’attendit pas que le cocher ouvre la portière pour sauter bas du carrosse, personne n’était là et tant mieux car l’empressement lui était grand. Il pris quelques secondes pour se calmer avant de se présenter au garde.

Nul blason sur sa tunique noir d’or et d’argent ourlé. Seule une petite bourse au dessus de la ceinture à l’emplacement habituelle de son épée montrait qu’il était de la grande lignée des Habsbourg, à part sa tunique nulle richesse n’était affichée si ce n’est un fin anneaux d’or à sa mains droite vestige du passé. S’avançant il dit alors au garde :

Oye garde ! Je suis Ardarín von Habsbourg et j’ai été convié par vos seigneurs et maistres à leur grandes épousailles. Il tendit le parchemin de l’invitation pour preuve et attendit confirmation.